Selon une analyse coût-bénéfice, le programme ENRICH a sauvé plus de 1 000 vies et a prouvé son efficacité dans l’amélioration des résultats en santé.
Entre 2010 et 2021, nous avons traité 552 123 enfants souffrant d’émaciation grave, et 90 % d’entre eux sont désormais en bonne santé.
Nous nous concentrons à la fois sur la santé des enfants et celle des mères, qui sont intimement liées. Prendre soin d’une femme avant qu’elle tombe enceinte, pendant la grossesse, lors de l’accouchement et au cours des années qui suivent a un impact direct sur le bien-être de son enfant. Nous travaillons avec les familles pour améliorer la santé des mères et des enfants en continu.
Quelques exemples de ce que nous fournissons :
Une fille n’est pas prête physiquement à porter et à mettre un bébé au monde, car son corps est encore en train de grandir et de se développer. Dans les pays en développement, la grossesse précoce fait partie des causes les plus fréquentes de mort des bébés ou des mères. De plus, des grossesses trop rapprochées sont un facteur majeur de décès.
Nous enseignons aux familles et aux communautés l’importance pour les femmes d’attendre au moins d’atteindre 18 ans avant de tomber enceintes. Nous apprenons aux familles l’importance d’espacer les grossesses d’au moins deux ans. Ainsi, le corps de la mère a le temps de se remettre de la grossesse et de l’accouchement. Elle peut continuer à allaiter son bébé et rester concentrée sur les soins à lui apporter.
La planification et l’espacement sain des grossesses peuvent avoir un impact durable sur une famille. Si une mère est en vie et en bonne santé, elle peut prendre soin de ses autres enfants et leur permettre de continuer d’aller à l’école. Les bébés qui viennent au monde en bonne santé et fort ont une meilleure chance de s’épanouir durant leur vie.
Les cinq premières années de la vie sont critiques. Chaque année, 5,9 millions d’enfants meurent avant leur cinquième anniversaire, dont la plupart de causes qui auraient pu être évitées et traitées. Voici certaines de nos interventions :
La malnutrition est responsable d’environ la moitié des décès avant l’âge de cinq ans. Elle réduit grandement la capacité des enfants à lutter contre les maladies, même les plus bénignes. En outre, elle ralentit le développement du corps et du cerveau des enfants. Elle peut réduire leur capacité d’apprentissage, à travailler et à soutenir leurs familles toute leur vie.
Nous formons et nous équipons également des réseaux de bénévoles chargés de s’occuper des malades et de prendre soin des enfants orphelins ou vulnérables à cause du VIH/sida.
Nous avons conscience du fardeau que représente cette maladie pour les enfants les plus vulnérables du monde. Nous intervenons à plusieurs niveaux :
Le paludisme illustre parfaitement la façon dont notre modèle de communauté intégré peut sauver la vie d’enfants. Nous installons des points d’accès à l’eau potable dans les communautés. Cela signifie que les bébés et les enfants sont moins susceptibles de passer du temps près de sources d’eaux stagnantes, où pullulent les moustiques porteurs du paludisme.
Il existe d’autres manières de prévenir et de traiter le paludisme :
En dépit du défi posé par la pauvreté, certaines familles ont réussi à élever des enfants bien nourris. La communauté apprend les méthodes différentes de ces familles. Parfois, il s’agit de combiner différents aliments ou d’en ajouter des nouveaux à l’alimentation de l’enfant.
Nous cherchons toujours des familles dont les enfants sont en bonne santé, même si les autres membres de la communauté ont des difficultés. Qu’est-ce que ces familles font différemment des autres ? Quelles recettes utilisent-elles, quels aliments achètent-elles ? Nous collaborons avec ces familles pour expliquer comment améliorer la santé des enfants aux autres membres de la communauté.
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