Le parrainage fonctionne !
En nous alliant avec les communautés, nous les aidons à devenir plus fortes, en meilleure santé et à disposer de plus de ressources qu’avant. Les parents peuvent subvenir aux besoins de leurs enfants aujourd’hui et ont une raison de croire en demain. Ensemble, nous créons un espoir qui perdurera pour les générations à venir. Voici notre approche en trois phases pour y arriver :
S’IMPLANTER
Nous travaillons avec la communauté pour comprendre ses besoins, ses objectifs et ses ressources. En collaboration avec les membres de la communauté, nous oeuvrons à trouver des solutions à long terme aux défis auxquels ils font face.
ÉVALUER ET PROGRESSER
Nous évaluons les progrès réalisés dans la communauté et effectuons les changements nécessaires pour l’aider à atteindre ses objectifs. Le travail se fait main dans la main avec les membres de la communauté et favorise leur totale implication.
ASSURER LA VIABILITÉ À LONG TERME
Grâce au soutien de parrains comme vous, les familles bénéficient de meilleures conditions de vie. Elles ont les compétences et les savoirs nécessaires qui leur permettront d’offrir à leurs enfants un avenir meilleur.
Maintenant que la communauté s’est approprié les programmes qui l’ont menée à la réussite, Vision Mondiale peut aider une autre communauté dans son cheminement vers l’autonomie.
Évaluations des communautés : Le parrainage d’enfants
Nos programmes de parrainage sont créés afin d’être les plus bénéfiques possible pour les enfants, c’est pourquoi il est très important pour nous de déterminer s’ils sont efficaces et de corriger toute lacune. Nous sommes méticuleux et précis dans la conception de nos programmes, de nos stratégies et dans nos évaluations régulières.
Tous les cinq ans, les communautés partenaires mènent une évaluation poussée de chaque programme de parrainage. Lors de cette évaluation, nous collectons des données qui nous indiquent si nous parvenons à provoquer les changements que nous souhaitions et nous montrent les éventuelles façons d’améliorer notre travail.
Nous consultons les membres de la communauté et nos partenaires du secteur public et privé qui travaillent dans la communauté des enfants parrainés pour recueillir leurs idées et leur avis sur nos actions. Main dans la main avec la communauté, nous célébrons nos réussites et cherchons immédiatement comment apprendre des défis que nous rencontrons. Les rapports de l’évaluation du parrainage d’enfants nous indiquent également sur quoi nous concentrer pendant les cinq années à venir.
En 2016, nous avons mené 16 évaluations dans des communautés où vous pouvez parrainer un enfant. Voici quelques-uns des changements que nous avons constatés :
- À Mwatate au Kenya, 65 % de la communauté bénéficie de latrines et d’un meilleur accès à l’hygiène, contre 25 % auparavant.
- À Tunyo au Kenya, 87 % des enfants vont à l’école maternelle, contre 72 % auparavant. Ils acquièrent des bases solides pour la suite de leurs études.
- À Ksash Kandal au Cambodge, 59 % des enfants savent lire et comprendre la documentation, contre 42 % auparavant.
- En Mongolie, dans la communauté de Chingeltei, le pourcentage d’enfants qui sont trop petits pour leur âge à cause de la malnutrition a baissé de 9 % à 2,7 %
- À Manonga en Tanzanie, 95 % des enfants sont désormais inscrits à l’école, contre 38 % auparavant.
- À Teltpetlapan au Nicaragua, 81 % des jeunes ont déclaré avoir suffisamment à manger chaque jour, contre 65 % auparavant. De plus, 94 % des enfants ont reçu des certificats de naissance, contre 81 % auparavant, leur donnant accès aux droits fondamentaux et aux services de santé et scolaires.
Où nous pouvons nous améliorer :
Asie
Cambodge
Ksach Kandal
Mongolie
Chingeltei
Bangladesh
Haluaghat
Sri Lanka
Padiyathalawa
Thanamalvila
Afrique
Tchad
Koro Hills
Kenya
Mwatate
Tunyo
Sénégal
Thiappy
Tanzania
Isagehe
Kinampanda
Nyasa
Zambia
Kalomo
Amérique latine
Nicaragua
Teltpetlapan
Où pouvons-nous améliorer
- Dans la communauté de Ksach Kandal au Cambodge, l’allaitement maternel exclusif des bébés a augmenté de 52 % à 67 %. Cependant, nous avons réalisé que les mères n’ont pas encore toutes les connaissances nécessaires pour nourrir leurs enfants avec des aliments sains quand ils grandissent. Nous devons nous concentrer sur cette formation.
- Dans la communauté de Mwatate au Kenya, 68 % des membres de la communauté ont accès à de l’eau potable, contre 38 % il y a quelques années, au début du programme. Améliorer l’accès à l’eau potable nécessite du temps et de l’argent, le programme a donc encouragé les ménages à faire bouillir leur eau en attendant.
- L’évaluation a montré que plus de personnes utilisent cette méthode, ce qui a entraîné une augmentation de la demande de bois combustible, qui peut mener à la déforestation. Il est nécessaire de s’assurer que nous utilisons des technologies qui permettent d’économiser le bois, même si nous continuons d’améliorer l’accès à l’eau potable dans toute la communauté
- Dans la communauté de Chigeltei en Mongolie, nous avons mené des formations sur la préparation et la prévention des catastrophes. Nous avons découvert que des personnes handicapées ou âgées n’avaient pas pu assister aux formations parce qu’il leur était difficile de quitter leur domicile. Nous devons trouver de meilleures manières de les impliquer à l’avenir.
Les communautés qui ont terminé le programme
Chaque année, nous célébrons les communautés qui ont terminé leurs partenariats de 10 ou 15 ans avec Vision Mondiale et sont prêtes à s’épanouir sans notre aide.
Une communauté est prête à avancer de manière autonome une fois que Vision Mondiale lui a permis d’accéder aux éléments essentiels pour mener une vie de qualité. Ces éléments sont notamment : l’éducation, les soins de santé, l’eau potable et une meilleure nutrition.
Par la suite, Vision Mondiale avance pour aller aider une autre communauté dans le besoin.
Exemples de succès :
- ÉDUCATION :
À Kalomo en Zambie :
98 % des enfants sont maintenant inscrits à l’école, c’est plus du double du taux de 2001, 44 %.
- EAU, INSTALLATIONS SANITAIRES ET HYGIÈNE :
À Thiappy au Sénégal, 100 % des familles ont désormais accès à de l’eau potable, contre seulement 26 % des familles au début du programme.
-
SANTÉ :
À Isagehe en Tanzanie, 98 % des enfants ont bénéficié de vaccins adaptés à leur âge pour les protéger contre les maladies, contre 26 % auparavant.
-
Au Sri Lanka, dans la communauté de Thanmalvila, le pourcentage d’enfants qui sont trop petits pour leur âge à cause de la malnutrition a baissé de 15 % à 8 %.
-
À Nyasa en Tanzanie, 96 % des enfants de moins de 5 ans dorment maintenant sous des moustiquaires, contre 81 % auparavant. Cela les aide à se protéger contre les maladies telles que le paludisme, la dengue et Zika.
-
À Rangrapara au Bangladesh, le pourcentage d’étudiants qui ont abandonné leur scolarité est passé de 18 % à 2,4 %.
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À Pathana au Sri Lanka, 57 % des enfants savent lire et comprendre la documentation, contre 46 % auparavant.
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À Koro Hills au Tchad, 81 % des enfants de 6 à 11 ans font maintenant partie d’un club, contre 41 % auparavant.
-
À Padiyathalawa au Sri Lanka, le taux d’emploi dans la communauté est désormais de 71 %, contre 4 % auparavant.
Pour plus d’informations concernant les changements réalisés dans ces communautés :
Asie
Thaïlande
Jatujak
Bangladesh
Haluaghat
Indonésie
Cilincing
Port Numbay
Sri Lanka
Padiyathalawa
Thanamalvila
Middle East
Jérusalem/Cisjordanie/Gaza
Hébron Est
Afrique
Tchad
Koro Hills
Laokassy
Ghana
Tolon-Kumbungo
Sénégal
Thiappy
Tanzanie
Isagehe
Kinampanda
Nyasa
Zambie
Kalomo